liber floridus
liber floridus :
Date : XVe siècle (écriture italienne)
Langue : latin, italien
Description physique : Parchemin. 66 feuillets. Sur le premier plat intérieur de la couverture, on a collé une peinture du XVIe siècle, représentant la face du Christ entourée des attributs de la papauté, avec la légende : "« Salve, sancta facies // Nostri Redemptoris, // In qua nitet species // Divini splendoris. »". Il s'agit d'une copie indirecte de la face du Christ du linceul de Turin. Au verso du folio 36, une main du XVIe siècle, semble-t-il, a dessiné à la plume un évêque (S. Ambroise ?) exorcisant un homme et une femme. 208 × 153 mm. Reliure en cuir gaufré, ancienne, avec ornements en cuivre et restes de fermoirs .
Description :
Origine vénitienne, d'après des textes en dialecte vénitien aux fol. 48 vo, 50, 63 vo, et les saints invoqués: Zénon évêque de Vérone, Géminien évêque de Modène. Les notes postérieures, du XVIesiècle, aux fol. 63 vo-64, sont italiennes.
Sur le deuxième plat intérieur de la couverture, une main plus récente (XVIe siècle) a copié diverses formules d'exorcismes, en latin.
Origine vénitienne, d'après des textes en dialecte vénitien aux fol. 48 vo, 50, 63 vo, et les saints invoqués: Zénon évêque de Vérone, Géminien évêque de Modène. Les notes postérieures, du XVIesiècle, aux fol. 63 vo-64, sont italiennes.
Sur le deuxième plat intérieur de la couverture, une main plus récente (XVIe siècle) a copié diverses formules d'exorcismes, en latin.
Provenance :
Sur le premier plat intérieur de la couverture, le P. Louis-Joachim Gillet, génovéfain, a écrit la note suivante : « Le 29 juin 1711, Mr l'abbé Hoüel, que je n'avois pas l'honneur de connoître, me donna ce livre dans la crainte qu'etant tresdangereux, il ne tombat en mains de personnes qui en abusassent. » Signé : « Gillet »
« Ex libris S. Genovefae, 1711 »
Sur le premier plat intérieur de la couverture, le P. Louis-Joachim Gillet, génovéfain, a écrit la note suivante : « Le 29 juin 1711, Mr l'abbé Hoüel, que je n'avois pas l'honneur de connoître, me donna ce livre dans la crainte qu'etant tresdangereux, il ne tombat en mains de personnes qui en abusassent. » Signé : « Gillet »
« Ex libris S. Genovefae, 1711 »
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