EXORCISMES ET POSSESSIONS

EXORCISMES ET POSSESSIONS

Un cas réel de possession démoniaque documenté

Cas réel de possession démoniaque documenté

Une femme en état de lévitation, parlait d’autres langues, et a montré des pouvoirs paranormaux

Posté: le 13 mars, 2008
© 2010 WorldNetDaily

Une américaine qui était en état de lévitation, montrait des facultés psychiques paranormales, et parlaient des langues étrangères à son insu a été clairement diagnostiquée comme possédée par un démon, selon une équipe constituée d’un psychiatre certifié et d’un professeur associé d’une clinique psychiatrique au New York Medical College.

La femme dont le nom n’a pas été divulgué, qui avait une longue histoire de participation à des groupes sataniques, a été observée par une équipe de prêtres, diacres, laïcs, plusieurs assistants, des psychiatres, des religieuses, dont certains avaient également une formation médicale et psychiatrique, en lévitation à 6,152 centimètres au dessus du sol tandis que les objets volaient des étagères dans la même chambre, selon le Dr Richard E. Gallagher, qui a documenté le cas dans le numéro de Février de la revue New Oxford.

 

« Périodiquement, en notre présence, Julia sombrait dans un état de transe récurrent », écrit Gallagher. « Les individus mentalement perturbés ont souvent une personnalité « dissociée », mais les transes de Julia étaient accompagnées d’un phénomène inhabituel: de sa bouche sortaient diverses menaces, insultes, et langage scatologique, des phrases comme « Fous-lui la paix! Espèce de demeuré », « elle nous appartient », « dégages! Imbécile de prêtre », ou simplement « dégages! ». Le ton de cette voix différait sensiblement de celui de Julia, et il variait, parfois guttural et vaguement masculin, et d’autres fois aigu. La plupart de ses remarques au cours de ces « transes », ou encore à la suite d’exorcismes, affichaient un mépris marqué pour tout ce qui était religieux ou sacré. »

Le sujet ne se souvenait pas avoir prononcé ces phrases après sa sortie de l’état de transe, nota Gallagher.

« Parfois, les objets autour d’elle volaient des étagères, un phénomène rare appelé psychokinèse et qui est bien connu des parapsychologues », rapporte Gallagher. « Julia avait également connaissance de faits et d’évènements sans aucune possibilité d’avoir acquis cette information naturellement. »

« Elle a fréquemment rapporté des informations sur la famille, la composition du ménage, les décès et les maladies de la famille, etc, des membres de notre équipe, sans les avoir jamais observés ou obtenu d’information à leur sujet », dit-il. « Par exemple, elle connaissait la personnalité et les circonstances précises du décès (par exemple, le type exact de cancer) du parent d’un membre de l’équipe, une chose que personne ne pouvait raisonnablement avoir deviné. Une fois elle a parlé du comportement étrange de certains animaux rendu inexplicablement frénétiques au-delà de son observation directe: Bien que résidant dans un autre ville, elle a commenté: « Alors ces chats sont vraiment devenu fou furieux la nuit dernière, n’est-ce pas? Le matin suivant, deux chats dans la maison d’un des membres de l’équipe s’étaient de façon inhabituelle violemment battus vers environ 2 heures du matin. »

Julia a demandé à être exorcisée, convaincue dès la début de ses consultations qu’elle était l’objet d’attaques démoniaques.

« L’exorcisme a commencé par une chaude journée de Juin », se souvient Gallagher.

« Malgré la météo, la salle où l’exorcisme a été conduit est devenue brusquement froide. Plus tard, cependant, alors que l’entité qui possédait Julia a commencé à cracher du vitriol et à faire des bruits étranges, les membres de l’équipe se sont mis à transpirer abondamment en raison d’une émanation de chaleur étouffante. Les participants ont tous dit qu’ils trouvaient la chaleur insupportable.

Julia est d’abord entrée dans un état paisible de pseudo-transe. Après la prières et les invocations du rituel, de multiples voix et des sons sont sorti d’elle. Un premier ensemble de manifestations consistait en un fort grognement et des bruits bestiaux, ce qui pour le groupe semblait impossible à imiter par des hommes. A un moment donné, la voix s’est mise a parler en langues étrangères, y compris des versions reconnaissables de latin et d’espagnol (Julia elle-même ne parle que l’anglais, comme elle nous l’a ensuite prouvé).

« Les voix étaient de nature clairement aggressives, et souvent insolentes, blasphématoires et hautement scatologiques. Elles maudissaient et insultaient les participants de la manière la plus grossière. Elles étaient souvent menaçantes — essayant, semble-t-il, de se défendre – « Foutez-lui la paix! », « Arrêtez, espèces de putes » (aux religieuses), »Vous le regretterez », et ainsi de suite.

« Julia a également fait preuve d’une force énorme. Malgré les religieuses et trois autres personnes lui tenant le bas de toutes leurs forces, ces dernières ont eu des difficultés à la maîtriser. Fait remarquable, pendant environ 30 minutes, elle s’est réellement retrouvée en état de lévitation à environ un demi-pied du sol. »

Le but de l’article de Gallagher, dit-il, est de « documenter un cas contemporain et clair de possession démoniaque. » Il explique que même ceux qui mettent en doute le fait qu’un tel phénomène puisse exister trouveront ce cas « plutôt convaincant. »

« La possession n’est que l’un des types, et non le plus commun, d’une attaque démoniaque.

La possession est un phénomène très rare, mais pas tant que certains l’imaginent », conclut-il. « Les dénommées « oppression », ou « infestation », sont moins rares, bien que peu fréquentes également, et parfois plus difficiles à diagnostiquer avec précision. »

Source: wnd



06/01/2012
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