EXORCISMES ET POSSESSIONS

EXORCISMES ET POSSESSIONS

DES EXORCISMES AUSSI DANS LE CATHOLICISME EUROPÉEN

Octobre 2012 | n° 306 | Granules et racines
DES EXORCISMES AUSSI DANS LE CATHOLICISME EUROPÉEN
Anne Morelli
Le récent procès des exorcistes musulmans, dont les séances avaient mal
tourné et entraîné la mort à Schaerbeek en 2004 de la jeune Latifa Hachmi,
a pu donner l’impression que la croyance en des pratiques pour faire sortir
des démons d’un corps est aujourd’hui le seul fait des musulmans. Il n’en
est rien. Pour les catholiques aussi, la croyance au diable est obligatoire, il
s’agit d’un "dogme", qui n’a rien de facultatif. Pour faire sortir le démon
d’un corps, l’Eglise catholique a réactualisé et rappelé ses pratiques
d’exorcisme dans un rituel publié il y a une dizaine d’années, en 1999.
Comme pour la pratique de la Roqya musulmane, les exorcismes catholiques se
composent d’un mélange d’eau sacrée, de litanies répétitives, de formules
incompréhensibles pour le commun des mortels et de gestes magiques destinés à
faire fuir le diable.
Les exorcismes, pratiques destinées à libérer de l’emprise de Satan, sont
évidemment liés à la croyance au diable. La proportion d’Européens qui croient à son
existence est largement inférieure à celle des croyants en dieu. A la fin du XXe siècle
déjà, 10 % seulement des Français interrogés lors d’un sondage croyaient fermement
à l’existence du diable [1], et un large pourcentage de personnes se définissant
comme catholiques ne croyaient pas en l’existence du diable.
La place du diable dans le catholicisme
Son existence est pourtant un dogme et si la croyance en Satan est tombée en
désuétude dans la deuxième moitié du vingtième siècle, les autorités de l’Eglise
catholique multiplient leurs efforts depuis un quart de siècle pour rappeler à leurs
fidèles que la croyance au diable n’a rien de facultatif.
En Europe, l’image du diable prolifère, mais Satan s’est progressivement démythifier.
La peur du diable a régressé et se cantonne à de tout petits groupes. Le démon,
banalisé a perdu sa figure terrifiante pour intégrer un vaste imaginaire ludique porté
par la musique, la bande dessinée, le film, la publicité.
Le diable a, sous des noms divers (Lucifer, le Malin, Belzebuth, la Bête, le Menteur,
Satan, le Séducteur, le Tentateur, le Prince de ce Monde, etc.), une place importante
dans les textes les plus récents de l’Ancien Testament. Le diable y défie dieu, tente
Eve (Gn, 3-1), puis Saül, Sarah, Zacharie, Samuel, Job (Jb 1).
Mais le Nouveau Testament fourmille aussi de références au diable et aux démons.
Avant sa vie publique, Jésus est mis à l’épreuve par Satan (Mc 1,13, MT4,1-11, LC 22,
31-32). Sept démons sortent de Marie de Magdala, Jésus sauve des possédés, le
diable agit à travers Judas, Jésus et les Juifs s’accusent mutuellement d’être des
suppôts de Satan (Jn 8,44). Le Christ rachète l’humanité au diable par sa crucifixion.
Il descend aux enfers entre sa mort et sa résurrection, il y abat la forteresse.
Depuis les premiers temps du christianisme et jusqu’au XX
e siècle, les théologiens se
sont attelés à préciser l’origine du diable et les circonstances de sa chute, le type
d’activités malfaisantes qu’il exerce au ciel et sur terre, avant et depuis la fondation
de l’Eglise. Ils ont décrit la nature du corps des démons, tenté de préciser comment
l’Eglise peut lutter contre le diable et ses sorciers, notamment via les exorcismes.
Lors de la convocation de Vatican II (1962-1965), le thème du diable n’était déjà plus
central dans l’enseignement de la religion catholique. Certes, les démons étaient
définis dans les catéchismes comme des anges révoltés, tâchant de porter les
hommes au mal par la tentation, mais Satan apparaissait surtout à l’occasion du rituel
du baptême. Ainsi, le manuel de religion utilisé juste avant le concile dans
l’enseignement officiel belge en 5e latine [2] décrit la cérémonie et ses premiers
exorcismes destinés à chasser le démon de l’âme de l’enfant, puis précise que17/06/13 www.cbai.be/revuearticle/1062/print/
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l’enfant, avant cela, est encore indigne de pénétrer dans l’Eglise parce qu’il se trouve
sous l’emprise du démon. Le prêtre souffle trois fois sur le bébé, le marque d’un signe
de croix, lui impose les mains, lui met du sel sur la langue. Avant qu’il ne renonce, via
son parrain et sa marraine, à Satan, ses pompes et ses œuvres, le bébé est encore
l’objet d’une série d’exorcismes : le prêtre touche les oreilles et les narines de
l’enfant en disant Ouvrez-vous. Pour renouveler ses vœux de baptême, à la puberté,
l’enfant dira : Je renonce au démon, je renonce à ses œuvres, je renonce à ses
séductions [3].
Dans la foulée des rénovations liturgiques et théologiques de Vatican II, ces
exorcismes, considérés comme les vestiges d’une époque révolue, vont être balayés
des rituels et remplacés par une formule de renonciation au Mal et une liturgie
symbolique qui insiste sur d’autres composantes du baptême : le vêtement blanc qui
symbolise la vie nouvelle dans la foi, l’accueil de l’enfant (ou du catéchumène) par sa
nouvelle communauté, le cierge qui apporte la lumière dans la nuit… Cet effacement
est significatif du silence de la plupart des théologiens de l’époque sur la question du
diable. Certains nient même, à la suite de nombre d’intellectuels catholiques,
l’existence de Satan : le diable serait un personnage symbolisantle Mal.
La mise à l’écart de Satan par les uns, l’indifférence des autres à son égard, ont fini
par déclencher à Rome des opérations de relance du thème du diable, qui durent,
sans beaucoup de succès apparent, depuis plus d’un quart de siècle.
Rappeler le rôle de Satan
C’est Paul VI, successeur de Jean XXIII, qui, le premier, s’est mis à rappeler le rôle
de Satan, et à la fin de son pontificat Paul VI va être hanté par l’idée de Satan. Il
assure, lors du neuvième anniversaire de son couronnement, que le Diable est venu
gâcher et dessécher les fruits du concile œcuménique [4]. Il est entré dans le temple
de Dieu pour y semer de nouvelles tempêtes : le doute, l’incertitude, l’insatisfaction,
la contradiction…
Quelques mois plus tard, le 15 novembre 1972, Paul VI va prononcer une allocution
entièrement consacrée à l’existence réelle du démon et intitulée Libérez-nous du mal
[5]. Ensuite, c’est la Congrégation pour la Doctrine de la Foi qui va réaffirmer la
doctrine du Magistère dans un long texte intitulé Foi chrétienne et démonologie [6]. Le
texte veut répondre à la mise en doute de l’existence de Satan et réagir au processus
de sa démythisation.Foi chrétienne et démonologieentend rappeler que la création du
Diable et son péché a valeur dogmatique. L’existence de la réalité démoniaque et
l’affirmation de sa puissance sont donc des points incontestables pour la foi
catholique, confirmés par les conciles postérieurs à Latran IV.
En outre, le document de 1975 publié par le Vatican trouve dans la liturgie une
confirmation de l’existence des démons et de la menace qu’ils constituent pour les
chrétiens. Il regrette que les anciens rituels qui exprimaient avec force l’action du
démon dans le rituel de pénitence, du baptême et de l’extrême-onction, aient été
remplacés et que les nouveaux aient éliminé les évocations directes du diable, mais il
précise que les exorcismes subsistent, que le pouvoir d’exorciser continue
d’appartenir au prêtre, et qu’il a parfois à l’exercer.
Responsable des maux modernes
C’est Monseigneur Suenens, cardinal archevêque de Malines-Bruxelles, qui va
reprendre le flambeau allumé par Paul VI. Il assure que le diable a rodé autour du
concile, et après celui-ci, pour plonger l’Eglise dans une nuit obscure. Il attribue tous
les maux modernes (avortement, terrorisme, délinquance, pornographie…) et le recul
de la foi a autant de camouflages sous lesquels se cache le Prince des Ténèbres. Le
démon n’est pas un mythe et il faut ramer à contre courant pour rappeler son
existence, même si le sujet est impopulaire.
L’ouvrage Renouveau et puissance des Ténèbres, paru en 1982 [7], s’attache
effectivement à contrer l’idée que Satan serait simplement la personnification
symbolique du Mal. Le livre du cardinal Suenens – préfacé par le cardinal Ratzinger,
alors préfet de la Congrégation de la Doctrine de la Foi et actuellement pape sous le
nom de Benoît XVI, qui lui apporte l’appui de son autorité – s’inscrit dans le cadre du
Renouveau charismatique.
Les "charismes" constituent aussi bien le don de parler "en langues", inconnues17/06/13 www.cbai.be/revuearticle/1062/print/
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jusque là par la personne frappée d’un charisme, que de guérir par des impositions
de mains ou des prières, et d’exorciser par les prières de délivrance du démon.
C’est via le Renouveau et sa prière de délivrance du Démon que le thème du diable
et de l’exorcisme revient donc en force dans l’Eglise belge. L’archevêque émérite
assure : "Je ne puis pas douter, pour ma part, de l’influence diabolique en certains
cas précis, et que j’ai été témoin ou instrument d’exorcismes libérateurs [8]". La
légitimité des exorcismes est appuyée par l’évangile canonique de Marc [9] qui
annonce : "Ceux qui auront cru, par mon nom chasseront les démons… "Le chapitre
IX est entièrement consacré à La délivrance ou exorcisme en milieu catholique. Le
cardinal y décrit la "délivrance" selon ses souvenirs personnels et des témoignages,
mais rappelle que les exorcismes sont réservés au délégué de l’évêque.
L’ordre des exorcistes reprend ses fonctions
À l’instar de Paul VI, Jean-Paul II a plusieurs fois confirmé l’existence de Satan. Il a
consacré l’audience générale du 13 août 1986 à La chute des mauvais anges [10]. Le
pape déclare que l’importance de Satan et de sa puissance maléfique ne peut être
niée, ni exagérée, ni minimisée. L’habileté de Satan dans le monde est celle de porter
les hommes à nier son existence au nom du rationalisme et de tout autre système de
pensée qui cherche toutes les échappatoires dans le but d’en nier l’action. Dans cette
allocution, Jean-Paul II confirme que le diable peut posséder des lieux et des objets :
"Il n’est pas exclu qu’en certains cas l’esprit malin parvienne même à exercer son
influence non seulement sur les choses matérielles, mais aussi sur le corps de
l’homme ; à ce sujet on parle de "possessions diaboliques" (Mc 5,2-9).
En 1986, le cardinal Ballestrero – pour faire face à la multiplication des exorcismes
sauvages – avait nommé six nouveaux exorcistes alors que la fonction semblait
immanquablement vouée à la disparition, mais les Eglises françaises et belges
semblaient échapper à cette tendance. Le Catéchisme de l’Eglise catholique, publié en
1992, témoigne de la volonté romaine de rappeler l’existence, la puissance et l’action
du diable et de ne pas laisser s’effacer la croyance en Satan, bien que jugée puérile
par nombre de fidèles et de théologiens.
Au cours des années 1990, les demandes d’exorcismes se multiplient [11], l’ordre des
exorcistes, supprimé en 1972, reprend du service. D’une part, les théologiens
considèrent le démon comme une personnification encombrante du concept du mal
[12], d’autre part des prêtres médiatiques, tels que l’abbé René Laurentin [13]
prônent le retour nostalgique au grand rituel d’exorcisme de 1614. L’annonce en 1996
par le père Gabriele Amorth, exorciste du diocèse de Rome [14] de la publication d’un
nouveau rituel d’exorcisme, doit se comprendre dans ce cadre.
Un " manuel d’exorciste "pour répondre à une demande
Les demandes d’exorcismes se sont multipliées au cours des années 1990. En France,
de 1977 à 1999, les exorcistes des évêchés sont passés de 16 à une centaine pour
faire face à une demande croissante [15] et de 1989 à 1995, les demandes de
désenvoûtement et d’exorcisme se seraient multipliées par dix et ne concerneraient
pas seulement les problèmes affectifs ou de santé, mais des questions de travail. On
consulte, dans un large éventail de catégories sociales, lorsqu’on est victime d’un
licenciement abusif ou pour pratiquer un rituel de vengeance contre son patron [16].
Et si l’Eglise n’occupe pas cette place, la sorcellerie occupe l’espace vacant et
prodigue le soutien autrefois recherché auprès du prêtre.
Le père André Van Raendonck, exorciste du diocèse de Bruxelles-Malines, explique
en 1998 que des personnes et des lieux peuvent être exorcisés quand ils sont habités
par des forces surnaturelles négatives. Il pratique la prière de délivrance, par
exemple pour libérer quelqu’un qui écoute trop de musique sataniste, comme le rock
gothique. Pour une personne qui aurait conclu un pacte avec les forces du mal, il
utilise le rituel. Selon l’exorciste du diocèse de Bruxelles-Malines, certaines personnes
s’ouvrent plus facilement à une influence démoniaque : les drogués, les gens qui
consultent régulièrement des voyants, ceux qui pratiquent la magie, qui appartiennent
à un groupe sataniste, qui invoquent les esprits, qui écoutent certaines musiques
satanistes… [16]
Loin de ce portrait-robot du possédé type, Mère Térésa elle-même a été exorcisée
peu avant sa mort en 1997. Selon l’archevêque de Calcutta, elle se sentait la nuit
sous l’emprise du diableet il avait été demandé à un prêtre d’effectuer une prière

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d’exorcisme qui avait duré une demi-heure [17].
C’est donc pour fournir aux exorcistes des bases légales à leur pratique en expansion
et pour éviter que les personnes se croyant possédées ne s’adressent à la
" concurrence ", que l’Eglise a décidé de publier un nouveau manuel d’exorcisme. Le
rituel d’exorcismes qui est publié en 1999 sort en latin sous le titre de " Exorcismis et
supplicationibus quibusdam "(" Exorcismes et supplications"). Ce livre de près de 90
pages se substitue au rituel qui datait de 1614 et qui avait été rédigé dans la foulée
du Concile de Trente et de la Contre-Réforme.
Mgr Medina Estevez, Préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des
sacrements, lors de la conférence de presse, rappela que " l’exorcisme vise à
expulser les démons ou à libérer de l’emprise démoniaque et cela par l’autorité
spirituelle que Jésus a confiée à son Eglise ". Pour lui, le diable est évidemment une
réalité et il déclare : " Nous savons qu’il y a des catholiques inadéquatement élevés
dans la Foi qui doutent de l’existence du Diable. Dans ce cas, il s’agit d’une défaillance
grave dans la formation religieuse ". Et le chef de la Congrégation pour le culte divin
et la discipline des sacrements souligne : " L’existence du Diable n’est pas une opinion
que l’on peut épouser ou rejeter à son gré. Elle est partie intégrante de la foi et de la
doctrine catholique. Une personne qui prétend que le Diable n’existe pas n’est plus
dans la plénitude de la Foi catholique ".
Quelle langue pour contrer le diable ?
Le manuel est publié en latin. Malgré la promesse faite lors de sa présentation de le
traduire dans les langues " vulgaires ", ces traductions n’ont pas, selon mes
informations, été réalisées, et le livre est introuvable tant dans les librairies que dans
les bibliothèques. Seul l’exorciste du diocèse dispose d’un exemplaire.
À une question d’un journaliste lors de la conférence de presse de janvier 1999,
demandant pourquoi seule la version latine était disponible, le Cardinal Medina
Estevez avait répondu que l’absence des versions en langue vernaculaire était sans
importance car " le Démon comprend le latin ".
N’y a-t-il pas plutôt quelque gêne de la part de l’Eglise catholique à étaler à la
curiosité générale des pratiques d’allure médiévale, faites d’aspersions d’eau bénite,
d’imposition des mains, de litanies obsessionnellement répétitives, d’exsufflations, de
signes de croix, d’oraisons jaculatoires et de bénédictions ostentatoires qui
s’apparentent pour nos contemporains à autant de pratiques magiques ?
Ces pratiques sont médiévales, mais un certain public les réclame. L’Eglise les leur
offre donc, mais en latin, tels ces médecins nommant en latin des parties dites
" honteuses "ou obscènes. Le recours au latin peut en outre plaire à ceux qui lui
trouvent un pouvoir d’évocation supérieur, justement parce qu’ils ne le comprennent
pas. Ceux-là veulent le mystère d’une langue magique à l’instar de ceux qui,
autrefois, utilisaient comme langue religieuse l’araméen, l’hébreu ou le syriaque,
qu’ils ne comprenaient pas. Mais le latin met aussi à l’abri de l’ironie. C’est qu’il ne
faut pas non plus heurter de front cette majorité de catholiques qui ne croient plus au
diable et dont Mgr Medina Estevez assurait que, de ce fait, ils se situaient en dehors
de la foi catholique.
Révéler à la majorité des catholiques que la croyance au diable (et en corollaire aux
exorcismes) est encore actuellement un dogme obligatoire, ne pourrait que
décourager une partie d’entre eux d’encore se déclarer catholiques.
Comme dans l’islam, les exorcistes de l’Eglise catholique, présents dans tous les
diocèses, tentent donc de chasser le diable du corps de ceux qui se pensent (ou que
leur entourage pense) possédés, à coups d’eau sainte, de formules magiques, de
gestes ostentatoires et symboliques, de litanies de formules religieuses...mais ces
pratiques doivent rester discrètes pour l’ensemble des fidèles.
Anne Morelli est historienne, ULB – CIERL, Centre interdisciplinaire d’étude
des religions et de la laïcité
Notes
[1] Sondage Louis Harris réalisé par le mensuel chrétien Panorama et publié par
celui-ci dans un hors série n° 12, en mars 1990. En 1988, 46 % des Italiens croyaient
au diable (Le Figaro, 20 octobre 1988).
[2] Abbé Joseph Toussaint, Les sources de la vie, La Procure, 1951, pp. 80-84-85.17/06/13 www.cbai.be/revuearticle/1062/print/
www.cbai.be/revuearticle/1062/print/ 5/5
[3] Voir, par exemple, le Catéchisme de Malinesdu Cardinal Mercier, 1918, p. 139.
[4] 29 juin 1972, voir Le Monde, 1
er
juillet 1972.
[5] Voir Osservatore Romano, 24 novembre 1972.
[6] Voir Osservatore Romano, 4 juillet 1975. Le texte est présenté comme l’étude
préparée par un expert à la demande de la Congrégation et que celle-ci recommande
vivement comme base sûre.
[7] Les Cahiers du renouveau, Document de Malines, 4, 120 pages.
[8] P. 7.
[9] 16, 17-18.
[10] Osservatore Romano, 19 août 1986, p. 12.
[11] Henri Tincq, Délivrez-nous du diable…, Le Monde, 31 décembre 1995-1
er
janvier
1996.
[12] Par exemple Fernand Comte, Les grandes notions du christianisme, Bordas,
1996, pp. 209-210 ou l’encyclopédie Théo.
[13] René Laurentin, Le démon, mythe ou réalité, Fayard, 1995.
[14] Il est notamment l’auteur d’un ouvrage traduit en français : Gabriele Amorth, Un
exorciste raconte, Œil, F.X. de Guibert, 1993.
[15] Chiffres cités par La Croix, 26 janvier 1999, à l’occasion de la session annuelle
des prêtres exorcistes qui ouvrait ses travaux pour trois jours à huis clos sur le
thème " Voyance, envoûtement et sorcellerie, paranormal ".
[16] Le Monde Radio – Télévision, 13/14 août 1995.
[17] La Dernière Heure, 23 octobre 1998.
[18] Déclaration de Mgr Henri Sebastian d’Souza, dépêche de l’Agence France-Presse,

source:"www.cbai.be"



17/06/2013
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